05 octobre 2013

Test n°2 - Final Fantasy V Advance




Ayant adoré les trois opus sortis sur GBA, assez faciles à trouver dans le commerce (Final Fantasy I & II: Dwn of Souls, Final Fantasy IV) puis apprécié l’adaptation du III et du IV sur DS avant de me mettre au VII sur PC, je me suis très naturellement tourné vers la traque du Vème et VIème épisode de Final Fantasy depuis le mois de juin dernier. Si le VIème m’a échappé quelques temps, le Vème fut facile à récupérer et j’ai pu m’y lancer à corps perdu courant août.

          Comme toujours avec les FF, pas de lien ici avec les autres épisodes de la série, donc on peut y aller serein si vous n’avez pas touché aux précédents.

Fiche technique :
Genre : RPG (Role Playing Game/Jeu de rôle)
Éditeur : Square Enix
Développeur : Square Enix
Année de sortie originale : 1992 (Super Famicon)
Année de sortie GBA : 2007
Support : Game Boy Advance


Un scénario entraînant qui ne s’essouffle pas...


Avant toutes choses, le scénario de ce Final Fantasy V est un petit bijou. Il est vraiment très long, très fourni, et on n’a pas l’impression de jouer à côté de l’histoire très longtemps. Je vais vous en faire un résumé succinct : dans un monde où les Cristaux sont utilisés comme sources de pouvoirs, des monolithes tombent à proximité de ceux-ci et libèrent des forces ténébreuses qui détruisent lesdits Cristaux. Bartz, un aventurier solitaire, Lenna, une princesse courageuse, Galuf, un vieil homme mystérieux et amnésique, et Faris, chef d’une bande de pirates, vont joindre leurs efforts pour contrecarrer les plans d’Exdeath et de son fidèle lieutenant Gilgamesh.

Les 4 Fantastiques: Comme pour les premiers opus, on dirigera 4 héros dans l'équipe.

 Les premières heures de jeu, vous allez suivre les instructions fournies par les PNJ et aller de villes en villes à très grande vitesse. Dites adieux aux longues phases passées dans la cambrousse dès le début du jeu à monter son niveau pour accéder à la suite de l’histoire, la première douzaine d’heure se fait facilement sans avoir à passer par celles-ci. Si vous ne voyez pas ce que je veux dire, rejouez un peu à Final Fantasy I ou même au second, où il fallait faire du level-up avant d’aller faire quoi que ce soit de nouveau… En lien avec Final Fantasy II, vous souvenez-vous qu'une des mésaventures les plus énervantes et fatigantes de ce jeu était de passer d’une zone avec des monstres à votre niveau à une autre où ils étaient bien plus forts sans être prévenu ? Ici, pas de ça : en fonction de votre type de déplacement (à pied, en dragon, en navire, en sous-marin, etc…), vous serez toujours dans des zones bien délimitées pour votre niveau. Si vous peinez, c’est qu’il va falloir faire un peu de level-up ou changer de classes. Si cet aspect « bornes bien définies » peut vous paraître très linéaire, sachez qu’il n’en est rien puisque très vite, on peut se balader sans peine sur toute la carte, visiter des donjons, etc…


Base volante d'Exdeath: Les rebondissements et les évolutions du scénario vont vous permettre de visiter des lieux incroyables et improbables... Un délice!

Je vous disais plus tôt que le jeu était donc très rapide du début, et ce peut-être aussi un reproche à l’encontre du jeu : on a pas le temps de retenir dans quelle ville on est, que déjà, on est passé à la suivante ou en transit vers une nouvelle destination. La carte du monde toute naze (ni lisible, ni interactive) ne va pas vous aider non plus d’ailleurs. La base de l'histoire en elle-même peut sembler bidon : 4 guerriers se rejoignent pour tenter de se mettre en travers du chemin d’une puissance maléfique qui souhaite anéantir les cristaux de la lumière. J’en vois déjà au fond grogner qu’on va se taper un FFI – 2. Et là, je dis non. Ce Final Fantasy V, on le verra un peu plus loin, est un véritable best of des 4 précédents.


Atomos contre les 4 Guerriers de la Lumière: Cette image est on ne peut plus classique dans l'histoire des Final Fantasy, mais pourtant, il n'en reste pas moins unique.

Primo, l’histoire est très différente de celle du premier opus puisque tous les personnages sont nommés et du coup, chacun dispose d’une histoire particulière, le mettant sur la route d’Exdeath (un méchant qui partage beaucoup avec Golbez de FFIV sur le plan esthétique et par ses apparitions). Ensuite, au lieu d’affronter sans cesse les mêmes Boss de Terre/Eau/Feu/Foudre, on affronte bien souvent des monstres liés au lieu où l’on se bat ou à l’histoire du lieu. A priori, vous vous dites « On s’en fout un peu », mais en fait, vous allez vite voir que ça amène un vent de fraicheur bienvenue. De même, la présence d’un ennemi qui revient à chaque fois plus fort (Gilgamesh), rend le jeu plus prenant et plus personnel.

Gilgamesh: On a parfois un peu de mal à le prendre au sérieux mais il 
devient vite aussi attachant qu'un des personnages principaux.

Deuxio, l’histoire va au-delà de la guerre actuelle entre nos 4 héros et Exdeath, et plongera dans la première guerre ayant opposé les précédents guerriers de la lumière à Exdeath, et même à celle qui vit s’opposer les tout premiers guerriers de la lumière au Néant. Bien sûr, cela donne un côté un peu moins « Ouais, on est les supers-guerriers de la fin des temps !! »à votre équipe. Mais cela répond à une question historique que je me suis pas mal posé à la fin du premier opus : que deviennent les Guerriers de la Lumière après ? Ici vous pourrez les rencontrer et vous battre à leurs côtés… De quoi vous tirer une larme !

Rencontre avec les Anciens Guerriers: Un grand moment vraiment appréciable.

Tertio, et là je vais vous demander de vous arrêter ici si vous ne voulez pas que je vous spoile l’histoire, disons environ aux 2/3 et quelques spoilers de Final Fantasy II et IV. C’est bon ? Y a plus personne ? Tertio donc, ce jeu va le plus loin dans le réalisme avec des héros qui meurent pour de vrai, en se sacrifiant vraiment et pas en faisant semblant de donner leur vie pour une cause. Je vise évidemment ici Final Fantasy IV, championne dans cette catégorie avec un Cid bourré de TNT qui se fait sauter dans un tunnel pour sauver ses amis, Yang qui fait exploser la tour au sous-sol, les jumeaux qui se fossilisent pour sauver Cécil,… Et tous reviennent parce que le sacrifice, c’est cool que si les mecs trop badass reviennent après ! Je m’excuse, mais c’est vrai que ça m’énerve. Final Fantasy V suit l’idée du second opus : un mort est un mort, et il va, à sa façon, donner un coup de main aux vivants (cf. Renaissance). Les sacrifices des anciens Guerriers de la Lumière prennent ainsi tout leur sens. Là aussi, j’applaudis à deux mains l’idée génialissime de faire impacter le scénario sur l’histoire, même si ça m’a fait sacrément gueuler de devoir jouer à 3 persos au lieu de 4 quand mon Mage Blanc a été bouffé par le Néant. Et bravo aussi pour le passage de compétences de Galuf à Krile qui m’a éviter de massacrer le papier peint de ma chambre en hurlant que je venais de perdre 16 heures de jeu sur un perso !


Renouveau: Jouer d'un coup avec seulement 3 personnages, avoir un nouveau 
membre dans l'équipe,... Final Fantasy V ne manque pas de rebondissements!


Enfin, il est important de noter les "plus" de cette version: 4 nouvelles classes, 3 nouveaux donjons avec leurs monstres et boss inédits, quelques objets supplémentaires, un bestiaire et un lecteur de musique. Oui, vous avez bien lu, il y a 3 nouveaux donjons. Et pas 3 donjons de rigolos, 3 donjons hypers longs et durs, avec leurs lots de pièges et de monstres assoiffés de combat. Et ça, c'est quand même super plaisant!


Un gameplay classique, qui offre des possibilités intéressantes


Le système de jeu de Final Fantasy V n’a que très peu évolué depuis le IVème opus. On est donc toujours sur une vue de ¾ pour les phases d’explorations (ville, donjon, mappemonde,…), avec la possibilité de courir dans les lieux définis. Pour les combats, la jauge d’ATB qui remplace le tour par tour est toujours présente. Petit rappel pour ceux du fond qui ne suivent pas : chaque personnage a  une jauge qui se remplit plus ou moins vite en fonction d’une de ses caractéristiques (souvent l’agilité), vous permettant, une fois remplie, d’effectuer une action avec votre personnage. C’est notamment grâce à elle et certains sorts que le gameplay des FF a pu prendre une dimension plus stratégique -> taper au bon moment, attendre 1 tour, utiliser 1 sort une fois que l’instant propice est avéré,… Un exemple type : l’adversaire qui peut balancer un rayon-trop-de-la-mort-999HP-en-moins pendant quelques secondes si vous le frappez à ce moment là. Les sorts tels que Boomerang, Lévitation et autres ont eux aussi permis d’ajouter une bonne dimension stratégique au jeu, autre que taper-encaisser-soigner comme c’était bien souvent le cas sur les premiers opus. Affronter le souffle dévastateur de Bahamuth quand on est protégé par Boomerang, c’est déjà bien plus envisageable.



Système de jeu: On attend que la jauge se remplisse pour qu'apparaisse 
le menu d'action de son personnage. Classique mais efficace et prenant.


Il en va de même avec l’intégration de pas moins de 26 classes différentes au total dans ce Final Fantasy! Je fais un peu trop vendeur de poissons là ? Okay, promis, j’arrête de m’extasier sur ce merveilleux jeu qui… Okay okay ! En variant de classe, vous avez vraiment de quoi vous faire plaisir puisque chacune vous apporte des intérêts propres, pouvant s’avérer décisives contre certains boss. Je n’en dis pas plus, une section de ce test vous fera un débrief’ rapide dessus, et un prochain article fera le tour des 26 classes. Le principal reproche que je pourrai faire à Final Fantasy V, c’est son niveau de difficulté, qui, s’il n’est pas insurmontable, vous donnera du fil à retordre. Très vite, vous allez avoir l’impression de bouger de 3 pas avant de vous faire réattaquer par des monstres lorsque vous être sur la carte ou la mappemonde. Et les monstres ne sont pas des tendres, vous retirant bien souvent 1/3 de vie à l’un de vos personnages à chaque combat lorsque vous êtes de niveau légèrement supérieur à eux. Vous allez découvrir également les « Coups critiques » de Final Fantasy V :


Coup Critique selon TermWiki: "Attaque qui produit plus de dégâts que d'habitude. Se produit généralement de manière alétaoire, mais peut aussi être influencé par les compétences."

Coup Critique selon Ingénieur Squaresoft: "Attaque qui produit plus de dégâts que d'habitude. Se produit 1 fois sur 10 pour les PJ, généralement quand il ne reste qu'1 point de vie à la cible. Se produit 1 fois sur 2 pour les monstres, surtout sur les attaques visant des personnages déjà blessés. Certains monstres peuvent aussi ne faire que des coups critiques (voir aussi "Fête du Slip").

La dernière phrase est totalement vraie: certains monstres ne font que des coups critiques, ce qui peut très vite vous porter sur les nerfs. Mais genre VRAIMENT. Perdre des centaines de HP dès le premier combat en sortant de l'Auberge (INN) ou de votre point de sauvegarde, c'est juste super rageant. Et puisqu'on en parle, les points de sauvegarde des donjons sont souvent placés assez loin des boss (vous aurez souvent un niveau/étage à traverser entre les deux), du coup, il est bien souvent impossible d'arriver full HP/MP (full = avec son maximum de) pour entamer le boss serein. Bien que cela facilite le level-up rapide et vous oblige à être bien à niveau contre les monstres pour ne pas finir en piteux état quand vous atteindrez les boss, il y a des fois où ça peut bien vite vous gaver.


Donjon: Cette édition de Final Fantasy intègre également des dynamisations des donjons
avec des ennemis qui se déplacent vers vous, des pièges au sol, des interrupteurs,...


Des graphiques très Final Fantasy et un esthétique très... Amano


On reste sur des graphiques à la Final Fantasy GBA, donc des trucs pas forcements hyper sexys, mais mignons et suffisants. Les décors sont biens, ça rappelle les Pokémon à la belle époque, les couleurs sont gentilles mais pas agressives, elles sont chaudes, on distingue bien tout. Seul soucis : parfois, on essaye de vous placer dans un environnement à ciel fermé (forêt avec voute des arbres, escaliers avec de grands piliers qui passent devant,…) et du coup, une bulle entoure votre personnage, vous permettant de voir à deux cases de vous sous la voûte. Ces phases sont très chiantes : que ce soit le rétro éclairage de la GBA SP ou le manque de vision, on passe des minutes entières à avancer, voir ce qu’il y a devant, avancer, se tromper, retourner sur ses pas,… Avec les monstres qui apparaissent tout les 3 pas.

A couvert: Vous voyez l'arche qui passe devant votre personnage et gêne la visibilité? Un petit cercle se forme autour de votre personnage pour voir "en dessous". 
Imaginez l'horreur que c'est dans les forêts...

Bon, soyons francs, une partie des adversaires sont clairement repompés des précédents FF et les animations restent limités. C’est peut-être le côté dommage de ces FF GBA : quand on a assisté aux cinématiques des Chimères sur PC ou Playstation, les versions adaptées sur la portable sont très fades. Mais bon, on s’y fait. C’est pas hyper beau comme sur une console de salon mais ça tourne bien. Voilà voilà… Alors la suite… Quoi ? QUOI ? Vous voulez en savoir plus ? Okay, je vais être obligé d’en parler. Il y a un vrai gros point noir selon moi dans ce jeu : le dessin des personnages... Une image vaut mieux qu’un long discours.



L'évolution graphique des Final Fantasy: Tapez le titre du jeu sur Google 
pour voir l'image en plus grand, Blogger ne supporte pas de trop grosses images.


On voit bien sur cette image de Dissidia 012 le passage de la période Yoshitaka Amano à celle de Tetsuya Nomura. Koikiditlautre ? Allez, un peu d’histoire : pour les 6 premiers épisodes de la série des Final Fantasy, c’est Y. Amano qui a définit les designs des personnages et des monstres, avant que T. Nomura, un de ses admirateurs, ne le remplace à partir du 7ème opus et jusqu’au 10ème, tout en sachant que la suite des Final Fantasy se base sur le style de Nomura. Et très sincèrement, le style d’Amano me donne la gerbe. On dirait des adolescents malades (teint blafard et coupes improbables sont toujours au rendez-vous) qui partent se battre et portent sur leurs visages toute la misère du monde. Y a pas à tergiverser très longtemps : le charisme est un élément insufflé par Tetsuya Nomura, suffit de regarder Cloud Strife, Squale ou l’héroïne du X et X-2 dont le prénom m’échappe, et de les comparer aux 6 anciens. Il est très difficile de douter longtemps.




Bartz: Est-ce que ce PNJ vous donne envie de vous battre pour lui?
Pas vraiment hein? EH BEN C'EST PAS UN P*T**N DE PNJ, C'EST
LE HEROS PRINCIPAL DU JEU!!


Un des rares à être passé au travers, c’est Cécil de Final Fantasy IV, qui a bien la classe sous sa forme de Chevalier Noir. Sauf que transformé en Paladin, il passe au maquillage blanc et noir qui te terrifie quand même sacrément malgré qu’il y ait l’écran de ta GBA entre toi et lui. Les persos du premier opus sont pas mal non plus, Garland et les héros sont même classe mais il faudra attendre Dissidia pour le découvrir puisque l’adaptation de FFI sur GBA fut minimaliste. Les monstres, qu’en dire ? Bien souvent, c’est pas trop mal trouvé, ça se tient, même s’il y a une inspiration d’Heroic Fantasy un peu bizarre par moment, on sait pas trop si c’est du gentillet ou du malsain, et les concepts ont pas forcément été réfléchis pour coller à un profil. Genre dans le V, tu bastonnes des gros monstres, tu tombes sur des gobelins mignons qui sont plus forts encore. What the F… ? Comme disent les jeunes.



Exdeath: Je suis plus partagé, il a la classe de Golbez dans FFIV mais...
Pourquoi? Pourquoi son attirail a été peint pour rendre hommage à la Gay Pride?


Un système de classes vraiment novateur


Le système de classes pour Final Fantasy sur une console portable n’est pas vraiment novateur en lui-même. Dans Final Fantasy I, vos 4 Guerriers de la Lumière avaient le choix entre 6 classes pour débuter, qui se transformaient en classe de niveau maître une fois une certaine quête passée. Dans Final Fantasy III (uniquement sur DS), les héros pouvaient accéder à un nombre plus élevés de classes, avec une petite période de réajustement lorsque l’on changeait de classe (5 ou 6 combats si mes souvenirs sont bons). Final Fantasy IV alliait des héros nommés à une classe particulière : Cécil était Chevalier Noir/Paladin, Rosa Mage Blanche, Kaïn Chevalier Dragon,… Ici, Final Fantasy V accède à une de mes plus anciennes requêtes pour un Final Fantasy : jouer un personnage nommé, ayant une histoire, et pouvoir lui choisir sa classe sans perdre 30 ans à attendre que la classe soit "maîtrisée". Le fait d'obtenir de chaque classe des compétences utilisables avec d'autres classes rend le jeu des classes plus attractif et en fait un mini-jeu de combo: si je prends un Ninja, j'obtiens la technique pour avoir deux armes offensives en main au bout d'un certain temps, ce qui me permettra d'équiper mon personnage de façon plus efficace pour d'autres classes Berserk, Mage-Chevalier,...


L'écran de sélection des classes: Lisible, rapide, rendant la gestion fluide.


Un Final Fantasy réussi, très bien désservi par une durée de vie importante


Cet article est du coup un peu énorme, je m'en excuse, et il faut que je le conclue maintenant. Final Fantasy V est un très bon Final Fantasy, et un excellent RPG. Il est facile d'accès, se prend vite en main et permet des choses vraiment diversifiées. Avec une histoire très présente et captivante, en n'hésitant pas à jouer sur les personnages, le jeu devient super intéressant et donne vraiment envie d'avancer. Enfin, cette version "Advance" apporte suffisamment au jeu pour lui donner une durée de vie vraiment exceptionnelle. Il donne vraiment l'impression d'un "best of" des 4 premiers jeux. Je vous conseille donc vivement cet excellent jeu (malgré que vis à vis des FF, je ne sois pas la personne la plus objective qui soit) avec lequel vous allez passer des heures et des heures à vous amuser!

Boîtier de Final Fantasy V  (FAMICON - 1992): Mais... Mais...
Mon dieu, sur cette image Bartz est bien plus beau et plus charismatique!!


Il y a quelques semaines, j'annonçais pour la suite Advance Wars. Le soucis c'est qu'étant en déplacement et l'ayant oublier, j'ai du passer au seul autre jeu que j'avais sous la main, Dragon Ball Z: Supersonic Warriors, un jeu de combat sur GBA. Du coup, révisez bien vos mangas pour la semaine prochaine, la critique ne va pas tarder à arriver!

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